Depuis plusieurs années, les algorithmes se sont imposés comme outils de recrutement. Ils sont couramment utilisés pour assurer la première partie du processus de recrutement : analyse des données du CV, rapprochement avec la fiche poste pour produire un coefficient pondérable par le recruteur.
Mais la fiabilité de ces logiciels est parfois remise en question par les entreprises qui craignent que l’automatisation ne les fasse passer à côté de profils atypiques mais intéressants.
Le cas de l'employeur Google est à cet égard troublant. Le champion de l'algorithme a abandonné le système de tri automatique des candidatures qu'il avait mis au point en 2007 pour revenir à des méthodes plus classiques et plus humaines de "tri à la main".
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