Dans les grands groupes, les serious games font désormais partie de la panoplie des outils de formation et de gestion des ressources humaines. Leur coût, plus élevé qu'un programme de e-learning, doit amener les entreprises à s'assurer de leur efficacité avant de valider le choix de cette option. Certains jeux sont très bien faits, mais on y apprend presque rien juge une professionnelle du digital learning dans l'article de Capital consacré au sujet.
Ludique, mais pas trop, le serious game doit susciter de l'engagement et non pas de l'addiction. La mécanique du jeu ne doit pas reposer sur la seule recherche des points à marquer et, si l'on veut que le jeu reflète les problématiques de l'entreprise, il faut qu'une équipe en interne s'implique à 100% dans la conception, conclut l'auteur de l'article.