Dans un monde où les tensions sur les marges s'accroissent, où le stress devient plus aigu, où les frontières entre la vie privée et la vie professionnelle sont de plus en plus floues, la question de la bonne santé des collaborateurs devient centrale pour le manager qui doit intégrer cette gestion du risque humain. Le bien-être est devenu une composante du résultat de l'entreprise.
Il est temps pour les directions de penser en termes de création de valeur et non plus de se focaliser sur la réduction des coûts, estime Jack Bekhor, le directeur financier de LifeWorks dans une tribune publiée dans Director of finance. Le retour sur l'investissement humain, estime-t-il, se mesure à travers la productivité, la performance, la fidélisation des collaborateurs et une réduction des coûts pour absentéisme.